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Que choisir entre une petite et grande surface pour un investissement locatif ?

Que choisir entre une petite et grande surface pour un investissement locatif ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! 8 ans d’expertise investissement immobilier 5/5 Excellent avis sur Google 100% de nos investisseurs satisfaits Lorsqu’il s’agit d’un investissement dans l’immobilier, la décision de choisir entre une petite et une grande surface locative revêt une importance cruciale pour les propriétaires-bailleurs et les investisseurs. Cette décision stratégique déterminera non seulement la nature de vos revenus fonciers, mais aussi la gestion locative et la rentabilité de votre bien immobilier. Entre les avantages d’une petite surface, la potentialité de loyers plus élevés avec une grande surface, les réglementations fiscales complexes, et les variations du marché immobilier, la réflexion autour de la mise en location d’une petite ou d’une grande surface nécessite une analyse minutieuse.  La taille de votre bien locatif peut influencer divers aspects, allant des plafonds de loyers fixés par la loi Pinel ou l’encadrement des loyers imposé par la loi Alur, à la demande potentielle des locataires et aux coûts de gestion. Que vous optiez pour une location meublée ou non, chaque choix entraîne des implications spécifiques en matière de fiscalité et de rentabilité. La gestion locative, la vacance, la répartition des charges au sein de la copropriété, ainsi que la possibilité de déduire certaines dépenses de vos revenus fonciers doivent également être prises en compte dans votre stratégie d’investissement. Dans cet article, nous vous guidons à travers les décisions essentielles à prendre lors de l’investissement locatif, en tenant compte des éléments tels que la signature du bail, les contrats de location, les baux, et l’état des lieux. Nous explorons comment la taille de la surface influe sur les loyers perçus, les avantages de la location meublée, les plafonds imposés par les lois fiscales et comment ces choix interagissent avec votre patrimoine. Que vous visiez à investir dans le cadre de la loi Pinel pour bénéficier d’avantages fiscaux, ou que vous cherchiez à maximiser vos revenus fonciers, cet article vous fournira un aperçu complet pour vous aider à prendre des décisions informées et à réussir dans l’univers complexe de l’investissement locatif.  Sommaire Les surfaces plus petites : le meilleur rendement Les grandes surfaces : la fidélité des locataires Ce qu’il faut retenir Les surfaces plus petites: le meilleur rendement Lorsque le budget est limité, opter pour une petite surface locative s’impose comme une évidence. La chambre de bonne, le petit studio ou le studio offrent des solutions abordables et attractives pour les propriétaires-bailleurs. Cependant, ce choix présente un avantage incontestable : des rendements potentiellement élevés, souvent dans la fourchette de 5 à 7 %, dépassant fréquemment les gains obtenus avec des surfaces plus vastes.  Les studios conservent une popularité durable auprès des jeunes, des célibataires actifs et des couples. Néanmoins, cette tendance à préférer les petites surfaces s’accompagne d’une rotation accrue des locataires. Les personnes souhaitant se rapprocher de leur lieu de travail ou de leurs études n’hésitent pas à changer rapidement de logement. La durée moyenne de disponibilité d’un studio sur le marché est d’environ 29 mois, tandis qu’une maison, par exemple, mettra en moyenne deux fois plus de temps à être louée.  Cependant, ce roulement fréquent des locataires engendre un double risque pour le bailleur. Tout d’abord, entre chaque locataire, le logement peut rester vacant pendant des jours voire des semaines, ce qui prive le propriétaire de revenus locatifs pendant cette période. De plus, cette rotation rapide contribue à une dégradation accélérée du bien en raison des déménagements et réaménagements répétés. Par conséquent, il est vivement recommandé d’allouer un budget dédié à l’entretien et aux réparations régulières.  Certaines personnes choisissent d’élargir leur patrimoine en investissant dans plusieurs studios. Cette stratégie leur permet d’investir de petites sommes lorsque cela est possible. Cette approche présente l‘avantage d’une diversification significative qui, en matière d’investissement, s’avère souvent payante. Par exemple, même en cas de départ précipité d’un locataire sur trois, vos revenus locatifs ne tombent pas à zéro. En multipliant le nombre d’occupants, vous diminuez également le risque d’impayés.  En fin de compte, malgré le roulement des locataires, les petites surfaces restent des options attrayantes pour les investisseurs à la recherche de rendements plus élevés, même si cela nécessite une gestion plus active et une planification attentive pour maintenir le bien en bon état et assurer une rotation fluide des occupants. Les grandes surfaces : la fidélité des locataires Contrairement aux petites surfaces, les logements spacieux peuvent générer des rendements plus modérés. Cependant, leur attrait réside dans la stabilité et la pérennité qu’ils offrent en matière de location, ce qui peut potentiellement se traduire par des profits cumulés sur le long terme.  Les locataires de grandes maisons ou d’appartements spacieux manifestent généralement une grande fidélité. Souvent composées de familles, ces résidences attirent des locataires qui ont tendance à être de bons payeurs. La plupart du temps, ces logements abritent deux personnes actives, ce qui signifie que deux revenus distincts contribuent au paiement du loyer. Cette configuration réduit considérablement le risque d’impayés.  En outre, les locataires de grandes surfaces ont tendance à s’engager sur le long terme. Les familles, notamment, ne prennent pas leurs décisions de manière impulsive et demeurent dans leur logement pendant des périodes considérablement plus longues que les locataires de petites surfaces. Selon diverses statistiques, les locataires familiaux restent souvent deux fois plus longtemps que les personnes occupant des studios. Ainsi, cette fidélité limite les périodes de vacance et réduit la nécessité d’effectuer fréquemment des travaux ou des réparations entre les locations.  Enfin, il est important de noter que le marché locatif manque souvent de grandes habitations disponibles. Les logements spacieux ne représentent qu’une fraction des offres locatives, avec les petites surfaces prédominantes. En général, les grandes surfaces sont rares, ce qui signifie que vous ne devriez avoir aucun mal à trouver un locataire, à

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Qu’est-ce que le plafonnement des loyers ?

Qu’est-ce que le plafonnement des loyers ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! 8 ans d’expertise investissement immobilier 5/5 Excellent avis sur Google 100% de nos investisseurs satisfaits Le plafonnement des loyers constitue une mesure réglementaire émanant des autorités publiques, visant à contrôler la croissance des loyers dans des zones spécifiques à forte tension locative. C’est un aspect crucial à considérer lors de l’envisagement d’un investissement locatif. Dans cet article, nous vous proposons de passer en revue ce dispositif, ses conditions d’application, tout en explorant les régions qui en bénéficient.  Nous aborderons les notions clés telles que “bailleur,” “loyer de référence,” “montant du loyer,” “renouvellement du bail,” et “location meublée.” De plus, nous expliquerons le processus de signature du contrat de bail, les aspects liés aux locataires, les plafonds de loyers, et les éventuelles excédences. Nous examinerons également comment le dispositif s’intègre avec d’autres régimes comme la loi Pinel et les zones tendues.  Au-delà des termes techniques, nous vous éclairerons sur des concepts essentiels tels que la réévaluation du loyer, le mètre-carré, la surface habitable, et les ajustements hors charges. Nous discuterons de la problématique des loyers sous-évalués et de la portée géographique du plafonnement.  En explorant les mécanismes de location meublée et de révision du loyer, nous mettrons en évidence comment le montant des loyers est fixé et le rôle du propriétaire-bailleur dans cette démarche. Nous aborderons également le rôle de la commission départementale et les étapes de fixation du nouveau loyer.  Enfin, nous soulignerons l’importance des logements vacants, du dernier loyer, et de la majoration des loyers dans ce contexte. Cette exploration approfondie du plafonnement des loyers vous permettra de mieux comprendre son impact sur le marché locatif et son implication pour les investisseurs immobiliers.  Sommaire Le déploiement législatif du dispositif de plafonnement Les dispositions d’encadrement des loyers  La mise en place du plafonnement loyer  Les villes et agglomérations qui appliquent le plafonnement ​ En cas de désaccord : une procédure de conciliation Ce qu’il faut retenir Le déploiement législatif du dispositif de plafonnement L’introduction du plafonnement des loyers s’inscrit dans un contexte de législation visant à réguler le marché locatif. La loi du 6 juillet 1989 prévoyait déjà un mécanisme d’encadrement des loyers dans le but de freiner leur augmentation dans les zones caractérisées par une forte demande de logements, dites “tendues”. L’objectif était de pallier un déséquilibre significatif entre l’offre et la demande, créant ainsi des difficultés d’accès aux logements locatifs en raison des niveaux élevés de loyers. Les dispositions d’encadrement des loyers Cette réglementation était fondée sur une approche de contrôle des loyers en fonction de la situation locale du marché. Elle stipulait qu’un loyer ne pouvait augmenter plus rapidement que l’Indice de Référence des Loyers (IRL) pendant la durée du bail. L’IRL, calculé sur une moyenne des 12 derniers mois, reflète l’évolution des prix à la consommation, en excluant les secteurs du tabac et des loyers. En tant qu’indicateur de pouvoir d’achat, l’IRL constituait une base pour éviter des augmentations excessives des loyers et assurer une certaine stabilité financière pour les locataires.  Ces dispositions ont posé les bases d’un contrôle des loyers, en anticipant la nécessité de limiter leur croissance démesurée et en reconnaissant l’importance de maintenir un équilibre entre les intérêts des locataires et des propriétaires-bailleurs. Cependant, ces mesures ont été affinées et renforcées ultérieurement avec l’introduction spécifique du dispositif de plafonnement des loyers en 2014 pour mieux répondre aux enjeux complexes du marché locatif. La mise en place du plafonnement loyer Le  plafonnement loyer  a été créé en mars 2014 dans le cadre de la loi Alur. Elle définit le montant maximum d’un loyer en euro par m² que peut demander le propriétaire d’un logement à son locataire. Ainsi, la loi Alur impose que le loyer ne puisse dépasser de 20 % le loyer médian fixé par arrêté préfectoral. Il ne peut non plus être inférieur de 30 % à ce loyer médian.   La loi Elan, de novembre 2018, a offert aux agglomérations volontaires la possibilité d’établir ce plafonnement sur une période expérimentale de 5 ans, étendue à 8 ans, à travers la loi « 3DS » (février 2022).  Le  loyer médian  est l’indicateur de référence pour le plafonnement loyer. Il évolue en fonction des caractéristiques du logement ainsi que de sa localisation. L’année de construction, le nombre de pièces et le caractère meublé ou non meublé sont des éléments qui influent sur la détermination de ce loyer. Lorsque vous réalisez un  investissement locatif  dans l’une des zones concernées par le dispositif de plafonnement, il est important de prendre en compte toutes les caractéristiques de votre futur bien pour déterminer le loyer médian. Le Gouvernement a mis en place des simulateurs de loyers de référence, par exemple  celui-ci pour la capitale. Le plafonnement loyer concerne les logements vides ou meublés du parc privé, à condition qu’ils servent de résidence principale. Les locations saisonnières ne sont donc pas impactées. Les logements HLM et conventionnés APL – Anah sont exclus du dispositif. Le plafonnement s’applique pour les premières mises en locations, mais aussi lors des changements de locataires et des renouvellements de baux. Les villes et agglomérations qui appliquent le plafonnement Il existe  plusieurs métropoles, agglomérations  et propriétaires-bailleurs qui testent actuellement le dispositif d’accès au logement :  Paris : les baux signés à compter du 1er juillet 2019  Lille, Lomme, Hellemmes : les baux signés à compter du 1er mars 2020  Intercommunalité Plaine Commune (93) : les baux signés à compter du 1er juin 2021  Intercommunalité Est Ensemble (93) : les baux signés à compter du 1er décembre 2021  Lyon et Villeurbanne : les baux signés à compter du 1er novembre 2021  Montpellier : les baux signés à compter du 1er juillet 2022  Bordeaux : les baux signés à compter du 15 juillet 2022  Si vous souhaitez investir dans

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Faut-il faire de la location meublée ou non meublée ?

Faut-il faire de la location meublée ou non meublée ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! 8 ans d’expertise investissement immobilier 5/5 Excellent avis sur Google 100% de nos investisseurs satisfaits En tant que propriétaire, l’objectif ultime est d’assurer un rendement optimal de votre investissement immobilier. Vous vous trouvez à la croisée des chemins : opter pour une location meublée ou non meublée. Cette décision capitale nécessite une analyse minutieuse, car chaque type de location possède des atouts et des limites. Votre choix devra impérativement s’aligner sur votre situation personnelle ainsi que sur vos préférences. Dans les paragraphes qui suivent, vous découvrirez une exploration approfondie des caractéristiques inhérentes à la location meublée. De plus, nous examinerons en détail les avantages et inconvénients de la location meublée et non meublée tout en tenant compte des aspects contractuels tels que le bail, les loyers, et les obligations du bailleur. Cet article a pour but de vous éclairer sur les nuances entre les deux options pour vous assister dans la prise de décision la plus avisée en matière d’investissement immobilier. Que vous envisagiez de louer votre bien immobilier en tant que résidence principale ou à des fins locatives, le contrat de location que vous établirez déterminera le cadre juridique et fiscal de votre démarche. Les notions clés telles que le régime réel, le régime micro-BIC, les abattements, les revenus fonciers, et les bénéfices industriels et commerciaux (BIC) viendront influencer directement votre choix entre location meublée et non meublée. La question de déduction des charges, notamment les amortissements et les dépenses déductibles, jouera également un rôle primordial dans votre décision. De plus, si vous envisagez de pratiquer la location saisonnière, les implications en termes de durée de bail, de forfaitaire et de régime fiscal seront des facteurs déterminants. Le paysage complexe de la fiscalité foncière peut sembler intimidant, mais il est essentiel de le comprendre pour prendre une décision éclairée. Que vous soyez déjà familier avec les bénéfices industriels et commerciaux ou que vous vous lanciez pour la première fois dans l’univers de l’investissement locatif, ce guide vous fournira une analyse approfondie des choix qui s’offrent à vous. En fin de compte, l’objectif est de maximiser vos revenus locatifs tout en restant en conformité avec les réglementations et les lois en vigueur.  Sommaire Qu’est-ce qu’une location meublée ? Un prix de location plus élevé  Un dépôt de garantie plus élevé pour le loueur en meublé  Un marché cible spécifique  Les inconvénients de la location d’un appartement meublé Un risque de dommages plus élevé  Des frais de stockage  Ce qu’il faut retenir Qu’est-ce qu’une location meublée ? Il s’agit d’une propriété déjà aménagée avec le mobilier essentiel dont les locataires auront besoin pour vivre. Le propriétaire fournit ces meubles aux locataires de la maison à louer. Ces meubles comprennent généralement un canapé, une table de salle à manger avec des chaises et des lits. Certaines propriétés peuvent être entièrement  meublées, ce qui signifie que le locataire ne devra ajouter que quelques meubles pour vivre dans la maison, ou bien aucun meuble selon si le logement possède beaucoup de mobilier ou non. D’autres propriétés peuvent être  semi-meublées  ou ne comporter qu’une partie du mobilier, le locataire devra alors apporter ses propres meubles. Dans le cas d’une location semi-meublée, les parties communes comme le salon et la cuisine sont meublées, mais le locataire est responsable des meubles de la chambre à coucher. Un prix de location plus élevé Opter pour la location d’un appartement meublé se traduit généralement par une tarification plus élevée. Cette différence de coût découle de plusieurs facteurs fondamentaux. Tout d’abord, les logements qui ont des biens mobiliers inclus subissent une dépréciation naturelle avec le temps. Le mobilier doit être périodiquement renouvelé pour garantir une qualité optimale. Cette nécessité d’entretien régulier entraîne inévitablement des frais plus élevés pour les propriétaires, qui doivent ainsi actualiser régulièrement et améliorer les équipements mis à disposition.  En fournissant un appartement déjà équipé, qu’il soit semi-meublé ou entièrement meublé, cela réduit également les tracas et les coûts associés au déménagement pour les locataires. Ces derniers sont soulagés de ne pas acheter des meubles onéreux, ou encore de devoir louer un camion de déménagement pour transporter leurs affaires. Cette commodité justifie en grande partie le loyer plus élevé affiché pour une location meublée. Un dépôt de garantie plus élevé pour de la location meublée Lorsqu’il s’agit d’appartements entièrement meublés, il est courant de solliciter un montant de caution plus élevé de la part des locataires. Cette mesure vise à couvrir les risques potentiels liés aux dommages qui pourraient affecter les biens mobiliers ainsi que la propriété en elle-même. Étant donné que les meubles et les équipements sont plus sujets à l’usure et aux éventuels accidents, les propriétaires cherchent à se prémunir contre d’éventuelles dépenses de réparation ou de remplacement.  Cependant, il est impératif de vérifier les réglementations locales et nationales en matière de dépôt de garantie. Il peut exister des limites légales quant au montant maximal que vous êtes autorisé à fixer en guise de caution. En respectant ces directives, vous éviterez tout conflit potentiel et vous assurerez que votre pratique de demande de dépôt de garantie est conforme à la loi.  En somme, tant que le loyer est plus élevé que le dépôt de garantie majoré pour les locations meublées, cela reflète la valeur ajoutée des biens mobiliers fournis aux locataires. Ces éléments compensent les coûts d’entretien et les risques inhérents à la détérioration des équipements tout en offrant une solution pratique pour les locataires à la recherche d’une expérience de déménagement simplifiée. Un marché cible spécifique Les appartements meublés attirent un type particulier de locataires. Généralement, ces locataires sont plus jeunes : ils n’ont pas encore rassemblé tous les meubles dont ils auront besoin et ne peuvent pas se permettre de meubler un

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60 villes à éviter pour un investissement locatif

60 villes à éviter pour un investissement locatif Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi En France, l’investissement locatif demeure le meilleur moyen de se constituer un patrimoine immobilier et de percevoir un revenu stable. Grâce à la mise en place de plusieurs lois à l’instar de la loi Pinel et Scellier, les investisseurs bénéficient d’une réduction d’impôts. Cependant, investir dans la pierre demande mûre réflexion. Vous devez tenir compte de plusieurs paramètres comme la demande locative, l’offre de logement ou le prix de l’immobilier dans le secteur. À partir de ces facteurs, des villes se détachent comme les meilleurs endroits où l’investissement est rentable. Par contre, d’autres sont à éviter. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire La loi Scellier : un tremplin pour l’investissement locatif La loi Pinel : un nouveau dispositif pour remplacer la loi Scellier ? Investir en loi Scellier ou loi Pinel ? Les villes à éviter selon la loi Scellier Les villes à éviter en investissement Pinel Les villes où il est bon d’investir La loi Scellier : un tremplin pour l’investissement locatif Cet ancien dispositif permettait aux propriétaires de bénéficier d’une défiscalisation immobilière dans le cadre d’un investissement locatif. Cette réduction représente au maximum 25 % du prix du bien. La loi Scellier a pris fin en 2012. Ce dispositif de défiscalisation s’adressait aux contribuables qui désiraient investir dans les logements locatifs (logements neufs). Les conditions pour bénéficier de ces avantages (réduction d impôt,avantages fiscaux, …) sont nombreuses. Pour être éligible, l’achat du bien doit être réalisé entre 2009 et 2012. Ensuite, le bien doit être mis en location pendant au moins neuf ans. L’investisseur doit trouver un locataire dans les 12 mois qui suivent l’acquisition du bien. Cependant, le dispositif entraine une suroffre de biens en location dans plusieurs villes. Les investisseurs doivent être plus prudents dans le choix des villes où investir. La loi Pinel : un nouveau dispositif pour remplacer la loi Scellier ? La loi Pinel offre de nombreux avantages en termes d’investissement immobilier. Les réductions d’impôts s’élèvent jusqu’à 63 000 euros. Cependant, le montant de l’investissement ne doit pas dépasser les 300 000 euros. Le succès du dispositif encourage le Gouvernement à le prolonger jusqu’en 2024. Selon les études sur ce sujet, la rentabilité moyenne d’un investissement Pinel tourne autour de 2 à 4 %. Comme la loi Scellier, elle présente des critères d’éligibilités. De plus, la rentabilité brute varie d’une zone à une autre. D’où l’intérêt de connaitre les villes à éviter avant d’investir. Investir en loi Scellier ou loi Pinel ? Mise en place à partir de l’année 2009, la loi Scellier a entrainé une hausse des offres de location dans les agglomérations. Les propriétaires peinent à trouver des locataires. La loi perd de son intérêt, puisque les investisseurs ne peuvent pas bénéficier de la défiscalisation. Dans son étude datant de 2009, le Crédit Foncier publie même une liste de 60 villes à éviter pour un investissement locatif. En comparaison à la loi Scellier, le dispositif Pinel comporte moins de risques. Cependant, vous devez bien étudier la demande locative dans la ville ainsi que l’offre de logements avant d’investir. Les villes à éviter selon la loi Scellier Dès sa mise en application, la loi Scellier était associée à la loi Robien au vu des risques qu’elle a générés. Depuis, des dizaines de villes sont classées à risque. L’offre locative est supérieure à la demande. Voici quelques villes à éviter : Saint-Étienne, Manosque, Mulhouse, Laval, Belfort, Charleville, Brest, Lorient, Angers, Agen, Castres, Sète, Narbonne, Perpignan, Erstein, Forbach, Elbeuf, Limoges, Blois, Cholet, Forbach, Colmar, Sélestat, Tomblaine, Périgueux, Bergerac, Tarbes, Gap, Albi. Les villes à éviter en investissement Pinel Un autre rapport publie une liste d’agglomérations à éviter pour un investissement Pinel. Le rapport s’appuie sur l’évolution du nombre de ménages, le taux de vacance ou la pénurie de logements. À partir de ces critères, les villes suivantes se détachent du lot : Béziers, Chartes, Dinan, Lens, Dieppe, Douai, Fécamp, Cambrai, Bourg-en-Bresse, Béthune, Anzin, Algrange, Angoulême, Avignon, Vienne, Vichy, Sens, Rochefort, Mulhouse, Montbéliard, Pau, Saint-Étienne, Saint-Brieuc, Longwy. Les villes où il est bon d’investir Qu’en est-il des villes où l’investissement est rentable ? Selon les statistiques, Bordeaux bénéficie d’un ratio de 4,76 locataires par offre. D’autres communes connaissent un ratio supérieur à l’instar de Lille, Nantes et Strasbourg. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un

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Comment défiscaliser en investissant dans l’immobilier locatif ?

Comment défiscaliser en investissant dans l’immobilier locatif ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir dans l’immobilier locatif offre de nombreux avantages. Parmi ceux-ci, on retrouve le fait de pouvoir défiscaliser. En 2022, c’est près d’une dizaine de dispositifs qui peuvent vous permettre de réduire vos impôts selon la nature de votre bien (location nue ou meublée, neuve ou ancienne, etc.). Découvrez les principaux dispositifs de défiscalisation. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Quels sont les différents dispositifs fiscaux existants ? La loi Pinel : investir dans le neuf La loi malraux : investir dans l’ancien Quels sont les différents dispositifs fiscaux existants ? La défiscalisation immobilière concerne aujourd’hui l’ensemble des mesures fiscales d’aide à l’investissement immobilier, mises en place par l’Etat. Ces aides, procurant des réductions d’impôt, ont été créées pour faciliter l’accès à l’investissement locatif aux particuliers comme aux professionnels. En tout, de nombreux dispositifs existent, à savoir : La loi Pinel et la loi Pinel Outre-mer. La loi Malraux. Le statut LMNP et LMP. La loi Censi-Bouvard. Le dispositif Monuments Historiques. Le dispositif Denormandie. Le dispositif Cosse ancien. Le statut SCI et SCPI. Le déficit foncier. Etc… Bien évidemment, tous ces dispositifs se différencient par leurs conditions d’attribution, leurs modes de calcul, leurs durées, leurs montants, etc. Il est donc primordial de connaître précisément leurs conséquences pour optimiser votre imposition. Découvrons ensemble les principaux dispositifs d’aides. La loi Pinel : investir dans le neuf Reconduit par le gouvernement jusqu’en 2024, le dispositif Pinel concerne l’investissement dans le neuf. Cette loi permet aux propriétaires-bailleurs de s’acquitter d’un bien immobilier neuf pour le louer, tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt. Celui-ci peut s’appliquer au maximum à deux locations par an avec un plafond de 300 000€ d’investissement par personne et de 5 500€ par m2 de surface habitable. Bien entendu, l’acheteur du logement doit répondre à certains critères pour bénéficier de ces avantages fiscaux : La zone d’implantation. Pour être éligible, le bien immobilier doit être situé dans une zone A, A bis ou B1. Il est aussi possible qu’il soit localisé en zone B2 et C si le permis de construire a été déposé avant le 31 décembre 2017. Les conditions liées aux locataires. L’habitation mise en location sous le dispositif Pinel doit être la résidence principale du locataire et doit être non meublé. Aussi, le revenu fiscal annuel du locataire ne doit pas excéder un certain plafond, variant selon la zone d’implantation et le nombre d’occupants au sein du logement. La durée de location. Pour bénéficier du dispositif Pinel, l’acquéreur doit s’engager à louer son bien durant une durée minimale de 6 ans, sous peine de perdre ses avantages fiscaux. Il est donc primordial pour le propriétaire de faire attention au période de vacances locatives, à une évolution défavorable du marché immobilier ou encore aux loyers impayés. La durée de location de 6 ans peut être renouvelable trois fois ou l’investisseur peut choisir une durée minimale de 9 ans, prolongeable 3 ans. Selon la durée de location (6, 9 ou 12 ans) le propriétaire aura une réduction d’impôt de 12, 18 ou 21% de son investissement, dans la limite de 63 000€. La loi malraux : investir dans l’ancien Le dispositif Malraux permet de diminuer sa fiscalité par le biais d’une réduction d’impôt, à condition d’investir dans un immeuble ancien et d’effectuer des travaux dans le bien acquis. Concernant les conditions d’attribution, l’investisseur s’acquitte à respecter les critères suivants : La zone d’implantation. Le bien doit être situé dans un quartier ancien dégradé ou présentant une forte concentration de bien dégradé, ou dans un secteur dit “sauvegardé”. Les conditions liées aux travaux. La loi Malraux vous permet de déduire le revenu fiscal global de vos frais de travaux de rénovation dans une limite de 100 000€ par an, et ce durant 4 années consécutives. Les travaux doivent cependant porter sur l’intégralité de l’immeuble ancien, être confiés à un architecte et doivent obtenir une autorisation préfectorale. La durée de location. Une fois les travaux achevés, l’acheteur s’engage à mettre en location son immeuble durant au moins 9 ans, chaque appartement devant être la résidence principale du locataire. Ce dernier ne peut cependant pas être descendant ou ascendant du propriétaire et ne peut pas être rattaché à son foyer fiscal. Si ces conditions sont respectées, l’investisseur bénéficiera d’une réduction d’impôt de 30%. Il peut aussi jouir d’une réduction d’impôt de 22% si son bien est situé dans une zone AMVAP (Aires de Mise en Valeur de l’Architecture et du Patrimoine). Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite

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Créer une SCI pour faire de l’investissement locatif

Créer une SCI pour faire de l’investissement locatif Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Lorsque l’on souhaite réaliser un investissement immobilier locatif, deux options s’offrent à nous : il est possible de se lancer sous son nom propre ou de créer une SCI. La SCI est particulièrement avantageuse et peut s’avérer très utile lorsque l’acheteur ne peut investir seul. Zoom sur la SCI et ses avantages ! Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Qu’est-ce qu’une SCI ? Quels sont les différents types de SCI ? Quels sont les avantages d’une SCI ? Investir à plusieurs Profiter d’une fiscalité avantageuse Bénéficiez d’une d’organisation et d’une relation avec votre locataire simplifiée Obtenez des avantages successoraux Qu’est-ce qu’une SCI ? La société civile immobilière (SCI) est une structure juridique, formée de minimum deux personnes distinctes, dans le but de gérer ensemble un ou plusieurs biens immobiliers. Le patrimoine immobilier est donc détenu par la SCI, et est réparti entre les associés selon leurs apports. L’apport peut être fait sous forme numéraire (c’est-à-dire une somme d’argent) ou sous forme immobilière comme avec un immeuble par exemple. Cet apport forme donc le capital de la société. En contrepartie, les acquéreurs possèdent des parts sociales qui leur permettent de recevoir des dividendes et de participer aux décisions collectives. Quels sont les différents types de SCI ? Il existe en tout plusieurs types de SCI, à savoir : La SCI familiale. Celle-ci est composée d’associés venant d’une même famille. Elle peut être particulièrement avantageuse en termes de succession. La SCI d’attribution. Privilégiée par les investisseurs, celle-ci vise l’acquisition ou la construction d’un logement et est destinée à être divisée en fractions à chacun des associés (au prorata de leur participation et selon le capital de la SCI). La SCI construction-vente. Contrairement à une SCI classique, celle-ci permet de construire une maison ou un immeuble dans le but de le revendre dans l’immédiat afin de générer un bénéfice. Etc… Attention toutefois à ne pas confondre SCI et SCPI (société civile de placement immobilier). La SCI vous permet de gérer votre location, la SCPI, quant à elle, est un simple placement. Elle vous permet uniquement d’investir dans la pierre, sans avoir aucun droit de gestion de patrimoine en retour. Quels sont les avantages d’une SCI ? Investir à plusieurs Le premier avantage d’une SCI est sans conteste le fait qu’elle permette d’investir à plusieurs. De cette façon, vous augmentez vos capacités d’investissement, ce qui vous rend plus crédible aux yeux des banques. Votre prêt immobilier aura alors plus de chances de vous être attribué. Aussi, comme vous générez des revenus plus importants à plusieurs, vous augmentez également le rendement locatif de votre investissement. Profiter d’une fiscalité avantageuse La SCI de location est ce qu’on appelle une société transparente. Le principe consiste à imposer les bénéfices générés par les associés avec l’impôt sur le revenu (IR). L’avantage d’une SCI à l’IR est, qu’en tant que bailleur particulier, vous pouvez déduire les charges de vos revenus locatifs selon la quote-part du capital que vous possédez. Dans le cas où, bien entendu, vous auriez opté pour le régime fiscal du réel. Si vos dépenses sont supérieures à vos recettes locatives, vous pourrez alors générer un déficit foncier. Selon la nature de votre location (location nue ou meublée) vous pouvez déduire votre déficit de vos revenus de même catégorie ou de vos revenus globaux de façon à réduire vos impôts. La SCI à l’IR vous permet aussi de profiter des réductions d’impôts destinés aux particuliers grâce à certains dispositifs de défiscalisation comme la loi Malraux, la loi Pinel, la loi Censi-Bouvard, etc. Cependant, si vous le souhaitez, vous pouvez aussi choisir de dépendre non pas de l’impôt sur le revenu mais de l’impôt sur les sociétés (IS). Dans ce cas, la SCI sera directement imposée et vous bénéficierez d’un abattement de 40%. Vous pourrez donc déduire des résultats de la SCI vos frais d’acquisition du bien, ou vous pourrez les amortir. L’impôt sur les sociétés peut même être obligatoire dans le cadre d’une location meublée (LMNP, LMP). Dans les deux cas vous profiterez d’avantages fiscaux non négligeables.  Bénéficiez d’une d’organisation et d’une relation avec votre locataire simplifiée Contrairement à l’indivision, la société civile immobilière possède une grande souplesse d’organisation. Et pour cause, elle vous permet d’aménager vous-même les modalités de prise de décision, alors qu’en indivision les décisions capitales doivent obligatoirement être unanimes. La gestion de votre patrimoine est donc facilité.  Louer une SCI vous permet également d’avoir une relation simplifiée avec votre ou vos locataires. Comme tous les associés doivent prendre les décisions majeures, les rapports avec le locataire sont moins tendus étant donné qu’il ne peut reprocher ces décisions à un propriétaire-bailleur unique. D’ailleurs, le contrat de location de votre locataire sera directement signé avec la SCI et non avec vous. Obtenez des avantages successoraux Si votre projet sur le long terme est de transmettre les parts de votre SCI, sachez que ce statut juridique vous offre de nombreux avantages. En premier lieu, vous pouvez éviter les problèmes liés à l’indivision et diminuer les charges de votre succession grâce à certains abattements fiscaux. Vous pouvez aussi diminuer le montant de vos droits de donation/succession étant donné que la valeur des parts sociales cédées bénéficie d’une décote de 10% par rapport à la valeur de votre bien immobilier. Il est également possible d’avoir recours au démembrement des parts de la SCI en offrant la nue-propriété des parts à vos successeurs tout en gardant l’usufruit des parts de la SCI afin d’obtenir les bénéfices. Vos successeurs récupéreront donc l’entièreté de votre propriété à votre décès. Ceux-ci pourront alors continuer de percevoir les loyers ou ils pourront effectuer une revente afin

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Qu’est ce qu’un investissement locatif clé en main ?

Qu’est ce qu’un investissement locatif clé en main Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir dans l’immobilier locatif est idéal pour percevoir des revenus supplémentaires sur de longues années et pour diversifier son patrimoine immobilier. Seulement, réussir ce type de placement financier demande des connaissances particulières comme trouver le bon emplacement, choisir le type de bien qui se louera, tâcher d’avoir un rendement locatif bénéfique, etc. Pour y voir plus clair, mais surtout pour économiser du temps et de l’argent, une nouvelle solution a fait sa place sur le marché : l’investissement locatif clé en main. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire L’investissement locatif clé en main : qu’est-ce que c’est ? Quels sont les avantages de l’investissement locatif clé en main ? L’investissement locatif clé en main : qu’est-ce que c’est ? Aujourd’hui, l’administration d’un bien immobilier en vue de sa location peut désormais être prise en main par des prestataires extérieurs. Ces entreprises proposent ce qu’on appelle un investissement locatif clé en main. Le concept est simple, il consiste à acquérir un logement prêt à la location dans l’immédiat, tout en étant conforme à tous vos critères. Cette solution se distingue de l’investissement immobilier locatif classique car vous êtes ici accompagnés par des professionnels, prenant en charge toutes les étapes de votre projet. Ainsi, en choisissant un investissement locatif clé en main, vous faite le choix d’être accompagné sur : – La définition de vos besoins.– L’élaboration de votre stratégie locative.– Le choix de votre bien (LMNP, LMP, immeuble de rapport, colocation…).– Le choix du montage fiscal, et des conseils concernant le dossier de financement.– L’accomplissement des démarches financières, administratives et juridiques relatives à l’acquisition de votre logement.– La prévision des travaux de rénovation si le bien acheté doit être optimisé.– L’organisation et la supervision des travaux, si nécessaire.– La sélection des locataires. En un mot, réaliser un investissement locatif clé en main est une solution extrêmement avantageuse qui vous permet d’être accompagné de A à Z par des professionnels sur votre projet immobilier. Quels sont les avantages de l’investissement locatif clé en main ? Réussir son investissement locatif demande la maîtrise de nombreux paramètres. Faire le choix du clé en main vous permettra de bénéficier de l’expertise de professionnels et ce tout au long de votre projet. L’entreprise sera en mesure de choisir pour vous une zone à forte tension locative, un bien avec un bon taux de rentabilité locative sur lequel vous pourrez faire une plus-value en cas de revente, il vous conseillera même concernant les différentes opérations de défiscalisation qui s’offrent à vous. Le but étant que vous puissiez percevoir vos revenus locatifs en toute sérénité, tout en ayant des avantages fiscaux (réduction d’impôt…) auxquels vous êtes éligible, et qui perdurent qui perdurent dans temps. Avec le clé en main vous bénéficiez donc du savoir de l’entreprise chargé de votre projet, mais vous possédez aussi un accompagnement sur-mesure avec une gestion simplifiée, ce qui vous fera en plus de tout gagner du temps. Mais surtout, acheter un  bien locatif clé en main c’est avant tout obtenir un rendement locatif élevé et un cash-flow positif, l’objectif de tous les investisseurs ! Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un indicateur intéressant des villes les plus rentables pour votre projet.   Vous pouvez également découvrir notre sélection de villes où il fait bon d’investir en consultant notre article : lien vers l’article Quelle ville choisir pour un investissement locatif ? – Immveo 4) Comment acheter pour louer sans apport ? Pour pouvoir réaliser votre projet d’investissement locatif sans apport il est primordial que vous constituiez votre dossier de demande de prêt de manière solide. Pour cela, vous devez choisir un bon emplacement pour votre logement, anticiper les charges qui pourront être liées, calculer votre rendement locatif, être capable de réaliser un effort d’épargne et enfin penser à la défiscalisation de votre projet.   Découvrez plus de conseils pour réaliser votre investissement sans apport personnel sur ce lien : lien vers l’article Réaliser un investissement locatif sans apport – Immveo

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Réaliser un investissement locatif sans apport

Réaliser un investissement locatif sans apport Que vous soyez un primo-accédant ou un habitué de l’immobilier, vous n’êtes pas sans savoir que les banques vous demanderont un apport personnel pour votre projet d’acquisition. Pourtant, contrairement à ce que l’on pourrait croire, 60% des prêts immobiliers sont accordés sans apport dans le cadre d’un investissement locatif. Alors, comment réaliser un investissement locatif sans apport ? Découvrez tous nos conseils. L’importance du dossier pour investir dans l’immobilier sans apport En France, les banques exigent aux futurs propriétaires de fournir un apport d’au moins 10% du prix d’achat de leur bien immobilier. Cette somme est réclamée pour couvrir les frais annexes comme les frais de garantie de prêt et les frais de notaire.  Mais il est également possible d’obtenir un prêt immobilier sans apport en contractant, au minimum, un emprunt de 110%. Le montant emprunté doit être supérieur au prix d’achat du logement pour pallier aux frais imprévus, comme par exemple des travaux et réparations. Ainsi, l’enveloppe peut donc être de 120% ou 130%. Cette condition est particulièrement demandée aux propriétaires bailleurs qui souhaitent réaliser un investissement immobilier locatif. Et pour cause, les premiers revenus locatifs qui seront perçus avec la mise en location serviront entièrement ou partiellement à rembourser l’emprunt. Ceci dit, votre capacité à contracter un prêt immobilier pour investir dans le locatif sans apport va dépendre de plusieurs critères. Choisir le bon emplacement Le premier critère qui est pris en compte par les banques est l’emplacement du logement. Celui-ci devra donc être implanté dans une zone à forte tension locative pour assurer sa bonne rentabilité. Si le bien est situé dans une ville touristique, comme Bordeaux, avec de nombreux étudiants, comme Lille, ou encore avec un bassin d’emplois fortement développé, comme à Paris, les banquiers seront rassurés concernant vos rendements et la rentabilité locative de votre bien. Ces grandes villes vous assurent de trouver des locataires facilement, vous aurez de cette façon peu de risque de vacance locative et vos loyers perçus vous aideront à rembourser votre prêt, voire même à l’autofinancer. L’emplacement est aussi intéressant dans le cadre d’une revente. Revendre votre bien sera simple et rapide s’il est situé dans une ville dynamique avec une forte croissance démographique.  Anticiper les charges liées à votre investissement Pour investir dans le locatif sans apport, votre dossier devra comporter toutes les charges auxquelles vous serez soumis, comme : La taxe foncière. Les frais de gestion. Les frais d’agence, s’il y en a. Les mensualités que vous devez régler pour votre résidence principale, mais aussi celles liées à votre investissement locatif. Les assurances, comme l’assurance de prêt par exemple. Il est primordial que vous prouviez avoir anticipé toutes ces charges pour pouvoir obtenir votre prêt sans apport. Ces charges sont les mêmes, que vous investissez dans le neuf ou dans l’ancien, dans une location nue ou meublée (LMNP ou LMP). Calculer votre rendement locatif En parallèle de votre dossier, vous devrez procéder au calcul de votre rendement locatif afin de le fournir auprès de votre banque. Attention cependant à ne pas gonfler vos chiffres pour tenter de faire accepter votre prêt, celui-ci sera étudié avec soin par les banquiers. En revanche, pensez à bien noter l’évolution de votre loyer, qui, sur une durée d’emprunt de 20 ans, sera très sûrement amené à évoluer. Être capable de fournir un effort d’épargne L’autofinancement et l’effort d’épargne sont deux autres points qui peuvent vous aider à obtenir votre prêt sans apport. On parle d’autofinancement lorsque le revenu locatif perçu permet de couvrir les charges et mensualités de prêt. Très séduisante pour les banques, la capacité de votre bien à s’autofinancer ne peut que convaincre. Cette situation est toutefois assez rare. Si le logement dans lequel vous avez investi ne peut s’autofinancer, vous serez tenu de fournir un effort d’épargne mensuel pour combler l’écart entre vos mensualités et vos loyers, vous devez donc avoir une capacité d’emprunt suffisante. Penser à défiscaliser Le dernier moyen de rassurer votre banque est de profiter de dispositifs vous permettant d’avoir des réductions fiscales. En effet, celui-ci va intégrer votre réduction fiscale dans le calcul de votre reste à vivre, un véritable cadeau ! Vous pouvez donc prétendre à deux dispositifs selon votre projet : la loi Pinel ou le dispositif Censi-Bouvard. La loi Pinel est parfaitement adaptée à un investissement locatif sans apport. Ce dispositif vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôt pouvant aller jusqu’à 21%. En contrepartie, votre bien doit être localisé dans une zone tendue (c’est-à-dire en tension foncière) et le montant de votre loyer ainsi que le montant des ressources de votre locataire ne devra pas dépasser un certain seuil. Pour l’amendement Censi-Bouvard, seuls les biens neufs situés dans une résidence de service sont concernés. Vous devrez alors mettre votre bien en location durant au moins 9 ans pour en échange bénéficier d’avantages fiscaux (réduction d’impôt) en plus d’avoir la possibilité de récupérer votre TVA.  Se faire accompagner Vous souhaitez investir dans l’immobilier locatif ?Immveo vous accompagne dans toutes vos démarches, de la recherche à l’achat de votre bien, en passant par la rénovation et la location. 😊Prendre rendez-vous Commentez, Partagez : [shared_counts] Qu’est-ce que le plafonnement des loyers ? Qu’est-ce que le plafonnement des loyers ? Le plafonnement loyer… Lire l'article Investissement à Nantes Investissementà Nantes chez IMMVEO Investir dans l’immobilier locatif offre de… Lire l'article Faut-il faire de la location meublée ou non meublée ? Faut-il faire de la location meublée ou non meublée ?… Lire l'article Load More

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Qu’est-ce qu’un immeuble de rapport ?

Qu’est-ce qu’un immeuble de rapport Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi L’immeuble de rapport peut vite paraître comme l’un des meilleurs investissements locatifs possible. Il s’agit effectivement d’un choix très intéressant, à condition qu’il possède un emplacement à la fois stratégique et rentable. Alors qu’est-ce qu’un immeuble de rapport et quels sont ses avantages ? On vous dit tout ce qu’il y a à savoir ! Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Qu’est-ce qu’un immeuble de rapport ? Quels sont les avantages d’un immeuble de rapport ? Un prix plus faible Une meilleure rentabilité locative Une gestion simplifiée Des risques réparties La possibilité de vendre les lots au meilleur prix Qu’est-ce qu’un immeuble de rapport ? Un immeuble de rapport, aussi appelé immeuble locatif, est un bâtiment composé de plusieurs logements qui serviront de placement pour le propriétaire investisseur. Le particulier souhaitant acheter un immeuble de rapport peut donc investir dans un immeuble dont les appartements sont déjà loués, un immeuble dont les biens sont vides, ou encore un conjuguant les deux situations. Si l’investisseur opte pour un immeuble aux appartements vides, celui-ci pourra alors effectuer des travaux afin de valoriser au maximum les appartements, pouvant même aller jusqu’à modifier les plans en augmentant la surface locative de certains biens immobiliers. Cette option permet aussi d’augmenter significativement le rendement locatif, mais nécessite l’aide d’un architecte pour les travaux. Si, au contraire, le propriétaire choisit un immeuble dont les appartements sont déjà loués en partie ou en totalité, les banques financeront plus facilement ce type de projet. En effet, il est plus rassurant pour les banques de savoir que des baux sont déjà établis, cela leur permet de savoir à quel montant le loyer est fixé pour les locations. Quels sont les avantages d’un immeuble de rapport ? Acheter un ensemble de lots dans un même bien immobilier est une opération considérée comme très avantageuse comparé à des achats de logements isolés. Voici la liste des principaux bénéfices de ce placement. Un prix plus faible La première qualité d’un immeuble de rapport est que son prix d’achat et ses coûts de fonctionnement sont moins chers que plusieurs achats séparés dans différents biens à louer. Effectivement, le prix d’achat au mètre carré est moins élevé pour l’achat d’un lot vendu à un seul acquéreur (on parle d’achat en bloc) que pour les mêmes appartements vendus séparément à plusieurs acheteurs. Le fait qu’il n’y ait qu’une seule transaction faite à un seul investisseur fait qu’il ne faudra payer qu’une fois les frais du courtier, les frais de notaire ou les frais de dossier de la banque pour le financement. De même, une seule commission sera à verser pour l’agent immobilier, celle-ci représentant un plus faible pourcentage pour un achat en lot que plusieurs achats séparés. Tout cela permet d’avoir un coût d’achat plus faible, mais également des frais de fonctionnement moins chers. Par exemple, les impôts fonciers sont généralement moins chers sur l’immeuble entier que sur les lots séparés. De la même manière, aucun frais n’est à prévoir pour un syndicat ou une copropriété puisque l’acheteur est le seul propriétaire bailleur. Même chose pour les artisans, si des travaux sont à prévoir il est tout à fait possible de négocier les tarifs étant donné que les interventions auront lieu au même moment, au même endroit. Tout cela permet, en plus,de réduire les frais de gestion. Une meilleure rentabilité locative Pour les locataires, le fait d’avoir un seul propriétaire pour tout l’immeuble ne change rien, le propriétaire aura donc les mêmes revenus fonciers que pour l’achat de plusieurs logements secs. Mais avec un prix d’acquisition et des frais de gestion plus faibles, celui-ci obtient une meilleure rentabilité locative. Une gestion simplifiée Sans copropriété à gérer, la gestion de l’immeuble est amplement simplifiée. Seul décisionnaire, le propriétaire est libre d’organiser des travaux de rénovation ou d’amélioration. Le fait que tous les biens possèdent la même localisation est aussi un gain de temps et de contraintes pour le gestionnaire des locations. Si la gestion locative de l’immeuble par une agence immobilière, le coût sera réduit car la gestion leur sera facilitée. Des risques réparties Le risque de problème avec un locataire ou d’impayés est réparti sur différents biens, ce qui représente un atout considérable pour les banques car ce seront plusieurs loyers perçus différents qui régleront le remboursement du crédit immobilier. Les locataires assurent donc une rentrée d’argent régulière, ce qui met en sûreté le paiement des mensualités. La possibilité de vendre les lots au meilleur prix Si le propriétaire souhaite faire une revente de l’immeuble de rapport, celui-ci aura alors le choix entre le vendre en lots ou vendre l’ensemble. En le vendant par lot, l’investisseur pourra garder les appartements ayant la meilleure rentabilité locative. Vendre les biens individuellement permet aussi d’avoir un plus gros bénéfice car ils seront vendus plus chers qu’ensemble. Néanmoins, pour ce type de vente il faudra prêter attention aux travaux à réaliser et aux frais nécessaires à la création d’une copropriété. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou

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Comment amortir un bien en LMNP ?

Comment amortir un bien en LMNP Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir en Location Meublée Non Professionnel (LMNP) permet de bénéficier d’une fiscalité avantageuse. Avec ce type d’investissement locatif, il est possible de déduire des charges, générer un déficit, et même, en parallèle, de pratiquer des amortissements qui permettent de réduire son imposition. Tour d’horizon sur la fiscalité en LMNP et son amortissement. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Comment fonctionne la fiscalité en LMNP ? Comment fonctionne l’amortissement d’un bien immobilier en LMNP ? Quelles sont les dépenses amortissables ? Et le déficit d’amortissement en LMNP ? Comment fonctionne la fiscalité en LMNP ? Avant d’aborder l’impact de l’amortissement sur l’imposition, il est primordial de comprendre la fiscalité en LMNP. À savoir, les loueurs en meublé non professionnel ont le choix entre deux régimes fiscaux distincts : le régime micro-BIC ou le régime réel. Ceux-ci peuvent dépendre du régime micro-BIC si leurs revenus locatifs sont inférieurs à 72 600€, ou au contraire, ils peuvent être rattachés au régime réel si leurs revenus sont supérieurs à cette somme, ou s’ils choisissent eux-mêmes cette fiscalité. Le régime micro-BIC aura pour avantage d’offrir un abattement de 50% sur les revenus locatifs, ce qui signifie que le loueur en meublé ne sera imposé que sur 50% de ses loyers. Le régime réel quant à lui, fait bénéficier au loueur la possibilité de déduire toutes charges liées à son investissement et aussi de déduire un amortissement. Cet amortissement va alors permettre de réduire les bénéfices déclarés et par conséquent d’avoir une réduction d’impôt ! Comment fonctionne l’amortissement d’un bien immobilier en LMNP ? L’amortissement comptable d’un bien locatif consiste à étaler son coût sur toute sa durée d’utilisation. Il s’agit donc d’une charge fiscale qui doit être enregistrée dans la comptabilité du loueur en meublé, témoignant la perte de valeur progressive de son bien, ce qui aura pour effet de réduire voire annuler son résultat imposable et ainsi l’imposition qui en résulte. Disponible tant pour les logements neufs qu’anciens, l’amortissement a des durées spécifiques : 5 à 10 ans pour tout ce qui est meuble et équipement.25 à 40 ans pour les frais d’acte et l’immobilier. Toute personne physique investissant dans un logement meublé peut bénéficier de cet amortissement et ainsi, amortir à 100% : La valeur hors taxe de l’immobilier (hors terrain).La valeur hors taxe du mobilier.Le montant des frais d’acte.Le montant des travaux effectués. Quelles sont les dépenses amortissables ? De manière générale, les dépenses amortissables en LMNP sont supérieures à 600€ et doivent correspondre à la date égale ou postérieure au début de l’activité. Ensuite, l’amortissement peut être fait sur une période donnée (en moyenne 3 à 10 ans). Les dépenses les plus couramment amorties sont le mobilier acheté pour équiper le logement et les travaux effectués celui-ci. Attention cependant, lorsque vous souhaitez amortir des charges sur une durée spécifique, veillez à ce qu’elle soit réaliste. Par exemple, vous pouvez amortir : La literie pour 6 ans. Un canapé pour 10 ans. Une table à manger pour 10 ans. Des travaux de peinture pour 10 ans. Etc. Quelles sont les dépenses amortissables ? De manière générale, les dépenses amortissables en LMNP sont supérieures à 600€ et doivent correspondre à la date égale ou postérieure au début de l’activité. Ensuite, l’amortissement peut être fait sur une période donnée (en moyenne 3 à 10 ans). Les dépenses les plus couramment amorties sont le mobilier acheté pour équiper le logement et les travaux effectués celui-ci. Attention cependant, lorsque vous souhaitez amortir des charges sur une durée spécifique, veillez à ce qu’elle soit réaliste. Par exemple, vous pouvez amortir : La literie pour 6 ans. Un canapé pour 10 ans. Une table à manger pour 10 ans. Des travaux de peinture pour 10 ans. Etc. Par exemple : Vous avez acheté un appartement neuf ou ancien pour 200 000€. Pour définir le montant de votre amortissement annuel sur 25 ans, vous devez alors diviser le prix du logement par 25, ce qui vous fait 8 000€. Si le mobilier installé a une valeur de 5 000€, sur 5 ans votre amortissement est donc de 1 000€. De même, pour des frais de notaire à 15 000€ sur 25 ans, l’amortissement sera de 600€. Au total, votre amortissement annuel sur les 5 premières années sera de 8 000 + 1 000 + 600 soit 9 600. Pour les 20 années suivantes il sera de 8 600 puisque vous aurez fini d’amortir le mobilier. En plus de cela, si votre bénéfice comptable est de 10 000€ grâce à vos recettes locatives, votre bénéfice imposable sera lui de 10 000 – 9 600 soit seulement de 400€. Vos revenus sont donc défiscalisés de manière conséquente ! Et le déficit d’amortissement en LMNP ? Les amortissements ne créent pas de déficit d’exploitation. Par contre, ils peuvent être différés lorsque la location meublée aura un bénéfice comptable, et ce sans plafond de montant et sans durée d’amortissement. Un avantage considérable, puisque le déficit se cumule sur les prochaines années pour servir en cas de bénéfices futurs. Il faudra néanmoins penser à bien conserver ses factures et justificatifs sur le long terme. Il est aussi possible de faire appel à un prestataire fiscal qui se chargera d’envoyer tous les éléments comptables à l’administration fiscale. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il

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