Comment sont réparties les charges de copropriété
Investir avec IMMVEO c’est bénéficier …
- D’hypothèses d’investissement transparentes
- De la Garantie Loyers Impayés (GLI)
- De l’aide juridique en tant que propriétaire
- De conseils de professionnels agrées (carte T)
- D’un accompagnement sur le financement (ORIAS)
30 ans cumulés d’expertise en
investissement immobilier
5/5 avis sur Google
1 méthode de recherche unique,
l’Imbrication
Nos conseils
pour un investissement locatif réussi
En France, la copropriété fonctionne grâce à des versements de provisions effectués par les copropriétaires. Ces versements, ou charges communes, sont donc obligatoires pour couvrir les dépenses courantes de l’immeuble dans lequel ils ont investi. Cependant, par souci d’équité, ces charges doivent également être réparties entre tous les propriétaires. Zoom sur les charges de copropriété et leur répartition.
Ne manquez pas nos
prochaines opportunités !
prochaines opportunités !
Sommaire
Les charges de copropriété : définition
- Les charges générales
-
Les charges spéciales
La répartition des charges
- La répartition des charges générales
-
La répartition des charges spéciales
Les charges de copropriété : définition
Les charges de copropriété correspondent à toutes les dépenses utiles au fonctionnement et à l’entretien de la copro. Généralement, ces charges sont votées lors d’une assemblée générale réunissant tous les propriétaires, et sont, la plupart du temps, prévues dans le budget prévisionnel. Le syndic de copropriété a ensuite pour rôle de veiller au bon recouvrement des frais, à défaut de voir sa responsabilité être engagée.
En tout, on distingue deux types de charges auxquelles l’ensemble des copropriétaires sont soumis : les charges générales et les charges spéciales.
Les charges générales
Comme son nom l’indique, les charges générales concernent l’entièreté de l’immeuble et de ses copropriétaires. Elles comportent l’administration et l’entretien des parties communes. Parmi ces charges, on retrouve :
- Le salaire du gardien de l’immeuble.
- Le nettoyage du bien immobilier.
- Les cotisations et les primes des assurances obligatoires souscrites par le syndic.
- Les frais de tenue des assemblées générales.
- Les honoraires du syndic.
- Les frais de justice, si une action a été intentée en cas de faute du syndicat des copropriétaires par exemple.
- Etc.
Les charges spéciales
A contrario, les charges spéciales concernent quant à elles seulement une partie des copropriétaires et non tout le monde. Elles visent donc des dépenses spécifiques, comme :
- Le chauffage collectif.
- L’eau froide.
- Les frais de maintenance de l’ascenseur.
- Le vide-ordure.
- Etc.
La répartition des charges
La répartition des charges de l’immeuble est régie par le règlement de copropriété. Ce document prévoit que certaines charges sont réparties par bâtiments ou par escaliers. Il précise également comment les quotes-parts des parties communes et les quotes-parts de charges sont calculées.
Cependant, la répartition des charges diffère selon si la charge est générale ou spéciale.
La répartition des charges générales
Dans le cas des charges générales, la répartition est faite en fonction des quotes-parts des parties communes (tantième) détenues par chacun dans l’immeuble. Le calcul se fait alors proportionnellement aux tantièmes de copropriété et tous les copropriétaires ont pour obligation de les régler. Pour rappel : les tantièmes et les millièmes sont aussi inscrits dans le règlement de copropriété.
Par exemple : Les propriétaires d’un logement au dernier étage doivent participer au frais d’entretien des espaces verts, tout comme, à l’inverse, ceux du rez-de-chaussée sont obligés de payer les travaux concernant la toiture.
La répartition des charges spéciales
Concernant les charges spéciales, la méthode de calcul est quant à elle quelque peu différente. Dans ce cadre, ce n’est pas tous les copropriétaires qui doivent financer les charges, mais seulement ceux pour qui la dépense est utile. Attention, l’utilité est jugée objectivement et ne doit pas être confondue avec un usage effectif, celle-ci doit plutôt être vue comme une possibilité d’usage. Ce n’est donc pas parce qu’un propriétaire n’utilise pas un équipement compris dans les charges spéciales qu’il est exonéré.
Par exemple : Le copropriétaire d’un appartement au rez-de-chaussée ne participera pas aux frais liés à l’ascenseur car celui-ci n’aura pas de possibilité d’usage. Par contre, le propriétaire d’un bien au dernier étage devra y participer, même s’il ne l’utilise pas.
Vous avez un projet ?
Échangeons ensemble !
FAQ
1) Pourquoi acheter pour louer ?
Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois.
2) Quel bien acheter pour louer ?
Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc.
3) Où acheter pour louer en France ?
Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un indicateur intéressant des villes les plus rentables pour votre projet.
Vous pouvez également découvrir notre sélection de villes où il fait bon d’investir en consultant notre article : lien vers l’article Quelle ville choisir pour un investissement locatif ? – Immveo
4) Comment acheter pour louer sans apport ?
Pour pouvoir réaliser votre projet d’investissement locatif sans apport il est primordial que vous constituiez votre dossier de demande de prêt de manière solide. Pour cela, vous devez choisir un bon emplacement pour votre logement, anticiper les charges qui pourront être liées, calculer votre rendement locatif, être capable de réaliser un effort d’épargne et enfin penser à la défiscalisation de votre projet.
Découvrez plus de conseils pour réaliser votre investissement sans apport personnel sur ce lien : lien vers l’article Réaliser un investissement locatif sans apport – Immveo