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Quelles sont les conditions de location sur Airbnb ?

Quelles sont les conditions de location sur Airbnb ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! 8 ans d’expertise investissement immobilier 5/5 Excellent avis sur Google 100% de nos investisseurs satisfaits Louer son logement pour une courte durée peut être source de revenus supplémentaires grâce aux loyers perçus par les locataires de votre résidence principale ou secondaire. C’est pourquoi Airbnb est un service de plateforme de locations meublée saisonnières incontournables, notamment entre particuliers. Toutefois, un règlement précis est à suivre pour la location de son meublé touristique afin d’être en règle et de ne pas être sanctionné par la plateforme.  Sommaire Quel est le principe de Airbnb ? Quelles sont les règles de location sur Airbnb pour un particulier ? La durée de location pour louer un logement  L’état des lieux et le dépôt de garantie  La gestion locative  Quelles sont les sanctions prévues pour non respect des règles ? Sanctions envers le propriétaire  Sanctions envers le locataire  Qu’en est-il de la fiscalité ? Quel est le principe de Airbnb ? Le principe de  Airbnb  repose sur un contrat de location d’un logement meublé à des fins touristiques. Le meublé touristique est défini par l’art 145 de la loi ÉLAN du 23 novembre 2018 comme une résidence, appartement, villas ou studios meublés dont le locataire, défini comme de passage, est le seul bénéficiaire tout le temps que court son contrat de location. Ce qui signifie qu’une chambre d’hôte ou une chambre chez l’habitant ne peut donc être considérée comme un meublé saisonnier. Le bail de location s’établit à la journée, à la semaine ou au mois. N’importe quel particulier peut s’inscrire sur la plateforme pour mettre en location courte durée son logement principal ou sa résidence secondaire. Le loyer, lui, est versé au bailleur en fonction de la période d’occupation du meublé de tourisme.  Quelles sont les règles de location sur Airbnb pour un particulier ? Le règlement Airbnb est clairement explicité dans les CGV de la plateforme. Les baux ne peuvent dépasser une période de 120 jours par an dans le cas d’une location d’un bien immobilier en résidence principale. Pour une résidence secondaire, cette durée ne s’applique pas. Évidemment, le propriétaire-bailleur est un non-professionnel de la location saisonnière.  La durée de location pour louer un logement Le séjour du locataire de passage doit s’effectuer sur une location de courte durée, c’est-à-dire que le contrat de location ne peut excéder 90 jours. Le locataire quitte le logement à la date convenue sans résiliation du bail (qui est tacite) ou délai de préavis.  L’état des lieux et le dépôt de garantie Le loueur est responsable de son bien. C’est à lui que revient la charge de tout mettre en ordre pour proposer un appartement meublé habitable. En cas de dégradation constatée, le propriétaire peut ne pas restituer la caution au locataire lors de l’état des lieux de sortie. Airbnb prévoit des assurances-habitation dans son contrat pour protéger vos locations meublées.  La gestion locative Airbnb a mis en place un système de gestion locative qui assure la mise en location pour des résidences secondaires.  Quelles sont les sanctions prévues pour non respect des règles ? En cas de non respect du règlement Airbnb des sanctions sont prévues.  Sanctions envers le propriétaire En cas de non déclaration du bien locatif, de numéro d’enregistrement et de changement d’usage auprès des services de mairie, le propriétaire encourt jusqu’à plusieurs dizaines de milliers d’euros selon la nature de l’infraction. Le propriétaire a le devoir de déclarer ses revenus locatifs aux titres des bénéfices industriels et commerciaux.  Sanctions envers le locataire Le locataire doit prendre soin du logement tout le temps que dure sa location saisonnière et ne pas faire de sous-location. En cas de non respect du règlement Airbnb, le locataire pourra être signalé auprès de la plateforme. En cas de dégradation, le propriétaire est en droit de demander une indemnisation. Bien évidement, il est aussi tenu de respecter la durée du bail imposé.   Qu’en est-il de la fiscalité ? Les revenus fonciers annuels dûes aux règlements des loyers saisonniers doivent être déclarées par le propriétaire du logement pour lequel il fait un investissement locatif de courte durée. En fonction du régime d’imposition, un abattement pourra être appliqué. La taxe d’habitation et la taxe foncière sont à la charge du propriétaire qui peut décider d’en faire régler une partie à ses locataires de passage dans le montant du loyer.  Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert

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Le cash-flow dans l’immobilier, qu’est ce que c’est ?

Le cash-flow dans l’immobilier, qu’est-ce que c’est ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Le cash flow est une expression anglo-saxonne que l’on entend de plus en plus lorsque l’on parle d’immobilier. Auparavant très utilisé dans le domaine de la finance, ce terme concerne aujourd’hui autant l’achat d’un bien, qu’un projet d’investissement locatif ou encore qu’une revente sur le marché immobilier. Alors que signifie le terme cash flow et comment se calcule-t-il ? Découvrez tout dans cet article. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Le cash flow en immobilier : qu’est-ce que c’est ? Comment calculer le cash flow en immobilier ? Comment avoir un cash flow positif ? Le cash flow en immobilier : qu’est-ce que c’est ? La dénomination cash flow pourrait se traduire en français par l’expression “flux de liquidité”. Derrière cette traduction complexe se cache en fait un concept très simple : le cash flow n’est qu’une mesure pour définir la réserve financière qu’il reste une fois toutes les dépenses liées à votre projet immobilier faites. Par exemple, si vous souhaitez acheter un bien immobilier dans l’optique de le louer, vous devrez prendre en compte toutes les opérations financières s’effectuant pour connaître votre cash flow. Ainsi, vous devrez connaître le bénéfice des loyers perçus, le paiement de votre crédit immobilier, les charges du logement, les taxes, les impôts, les assurances, et toutes autres dépenses mensuelles, qu’importe que vous ayez un logement nu, meublé, neuf ou dans l’ancien. Une fois tous ces facteurs pris en considération, vous pourrez mesurer l’équilibre entre vos bénéfices et vos dépenses. Si vous possédez plus de bénéfices que de dépenses, vous aurez ce qu’on appelle un cash flow positif. Dans le cas contraire, nous parlerons de cash flow négatif. Le cash flow est donc un calcul qui sert d’outil pour analyser la réussite de tous projets immobiliers. Comment calculer le cash flow en immobilier ? Véritable indicateur financier, le cash flow, à l’instar du rendement locatif, ne peut être négligé pour mesurer la rentabilité de votre projet, qu’il s’agisse d’achat, de revente ou de location. Tel un flux de trésorerie, celui-ci vous permet de recenser tous les flux d’argent entrant et sortant afin de déterminer le réel revenu mensuel de votre investissement. Le calcul est donc assez simpliste, et est représenté par la formule suivante : Cash flow = Revenus locatifs (revenus fonciers + charges refacturées) – Dépenses Dans les flux entrants ou revenu locatif brut, vous allez tenir compte du montant du loyer. Bien entendu si vous refacturez des charges à vos locataires vous devez également le compter pour avoir la valeur de vos revenus. Pour les flux de sortie, vous devrez prendre en considération toutes les dépenses liées à votre bien, qu’importe son type ( LMNP, LMP, immeuble de rapport, etc.). Parmi celles-ci, on retrouve le taux de votre emprunt immobilier, les frais de dossier, les mensualités, les intérêts du prêt immobilier, les frais de notaire, l’assurance, les taxes foncières, les charges sociales, les charges de copropriété si vous en avez, etc. En résumé, prenez en considération le prix d’achat du bien, les travaux, les charges, le montage bancaire (assurance, copropriété, expert-comptable, etc.), ainsi que la fiscalité de l’opération (réduction d’impôt, dispositif Pinel, Malraux, Censi-Bouvard, etc.) et votre fiscalité personnelle. Par exemple, si vous achetez un appartement à 100 000€ pour le mettre en location et que votre loyer est de 500€ par mois, votre rendement brut sera de 6% (sans la fiscalité et les charges). Si pour ce même bien votre taux d’emprunt est de 2% sur 25 ans, vous devrez rembourser des mensualités à 424€. De ce fait, vous épargnez chaque mois la somme de 76€, vous avez donc un cash flow positif et vous avez par conséquent réalisé un investissement immobilier locatif rentable. Comment avoir un cash flow positif ? Pour avoir un cash flow positif, vous devez impérativement réaliser un investissement immobilier intelligent. Vous devez donc suivre quelques règles d’or comme prêter attention à l’emplacement. Choisissez une zone de tension locative, c’est-à-dire une zone avec une demande locative supérieure au nombre d’offres immobilières. Cela vous permettra d’éviter les loyers impayés et les périodes de vacances locatives. Lors de l’achat du bien ou des biens immobiliers, tâchez de vous trouver en dessous du marché pour maximiser votre marge de négociation. Si vous investissez dans l’immobilier ancien, pensez aux travaux de rénovation et au réaménagement de votre location pour augmenter sa valeur. Achetez une décoration neutre et design si vous cherchez à mettre à disposition une location meublée. Pensez aussi au potentiel de plus-value si votre but est de revendre l’habitation, et n’oubliez pas de calculer la rentabilité locative du bien. Enfin, si vous souhaitez être accompagné dans toutes les étapes de votre projet pour faire les bons choix, vous pouvez opter pour une solution d’investissement locatif clé en main. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc.

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Investir intelligemment dans l’immobilier locatif

Investir intelligemment dans l’immobilier locatif Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir dans le locatif est, contrairement à ce que l’on pourrait croire, très différent d’acheter une résidence principale. Ce placement immobilier doit à tout prix se dissocier de notre approche personnelle de l’immobilier et doit être envisagé avec une réflexion spécifique à l’investissement. Alors, comment investir intelligemment dans l’immobilier locatif ? Découvrez tous nos cinq conseils. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Choisissez un bon emplacement Prêtez attention aux critères souhaités par les locataires Calculez le rendement locatif du bien Choisissez un bon emplacement Le premier critère à prendre en compte lorsque vous souhaitez investir dans l’immobilier locatif est sans conteste l’emplacement. Si il est vu comme le critère le plus important pour certains, vous devrez garder en tête qu’il est loin d’être le seul que vous devez prendre en considération. Toutefois, bien choisir le lieu où investir est primordial, que vous ayez un projet d’investissement dans le neuf ou dans l’ancien, que vous souhaitiez une location nue ou meublée (LMNP, LMP). Acheter un bien immobilier dans une zone à forte tension locative est idéale puisque cela correspond à investir dans un endroit où la demande locative est supérieure au nombre d’offres immobilières. Posséder un logement locatif dans une zone tendue permet alors d’éviter les périodes de vacances locatives ainsi que les loyers impayés, ce qui est très bénéfique. Pour votre investissement, viser les villes disposant d’une population croissante est également avantageux. Enfin, n’oubliez pas de prendre en compte dans vos critères les infrastructures proches de votre bien (transport, commerces, etc.). Être à proximité de toutes commodités vous permettra d’avoir une large cible de locataires. Par exemple, en étant à la fois proche des écoles et universités, vous pourrez viser les étudiants comme les familles. Prêtez attention aux critères souhaités par les locataires Outre l’emplacement, le bien dont vous êtes l’investisseur doit aussi correspondre à certains critères. Les plus appréciés et attendues des locataires sont la luminosité du bien et l’état général d’entretien de la copropriété, dans le cadre où vous investissez dans un appartement ou un immeuble de rapport. Si vous investissez dans une copropriété, pensez à vérifier la liste des travaux effectués mais aussi celle des travaux à venir (façade, toiture, etc.) au risque de voir votre trésorerie impactée. Calculez le rendement locatif du bien Pour effectuer un achat immobilier locatif, vous devez impérativement prendre en considération l’aspect financier du projet. Ainsi, vous devrez absolument calculer le rendement de votre location avant de l’acquérir. Ce calcul se base sur les revenus locatifs annuels que vous percevrez et le montant global de l’acquisition du logement. Plus le rendement sera élevé, plus vous recevrez de revenus fonciers. Comparez donc les rendements de chaque bien que vous visitez afin de vous assurer que ceux-ci sont bien rentables. Attention à ne pas confondre rendement et rentabilité locative, qui elle, se base sur une éventuelle plus-value ou moins-value et est calculée dans le cas d’une revente. En dehors de la rentabilité du projet, vous devez également étudier sa partie financière. Calculez tous les coûts engendrés par votre investissement pour essayer de vous rapprocher au maximum d’un projet autofinancé. L’autofinancement est atteint lorsque votre loyer couvre à minima la mensualité de votre crédit immobilier, et dans l’idéal la taxe foncière et les charges de copropriété si vous en avez. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un indicateur intéressant des villes les plus rentables pour votre projet.   Vous pouvez également découvrir notre sélection de villes où il fait bon d’investir en consultant notre article : lien vers l’article Quelle ville choisir pour un investissement locatif ? – Immveo 4) Comment acheter pour louer sans apport ? Pour pouvoir réaliser votre projet d’investissement locatif sans apport il est primordial que vous constituiez votre dossier de demande de prêt de manière solide. Pour cela, vous devez choisir un bon emplacement pour votre logement, anticiper les charges qui pourront être liées, calculer votre rendement locatif, être capable de réaliser un effort d’épargne et enfin penser à la défiscalisation de votre projet.   Découvrez plus de conseils pour réaliser votre investissement sans apport personnel sur ce lien : lien vers l’article Réaliser un investissement locatif sans apport – Immveo

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Investir dans le logement locatif ancien : nos conseils

Investir dans le logement locatif ancien nos conseils Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir dans le locatif ancien reste à ce jour le placement immobilier préféré des investisseurs français. Et pour cause, étant de 20% à 30% moins cher que le neuf tout en étant omniprésent sur le marché immobilier, investir dans l’ancien demeure très avantageux. Alors, comment réussir votre projet d’investissement locatif dans l’ancien ? Voici tous nos conseils. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Pourquoi investir dans un logement locatif ancien ? Comment réussir son investissement dans un logement locatif ancien ? 1 – Sélectionnez votre type de bien 2 – Définir votre cible 3 – Fixez correctement votre loyer 4 – Optimisez votre fiscalité avec le régime réel 5 – Assurez la rentabilité de votre bien en souscrivant à une assurance Pourquoi investir dans un logement locatif ancien ? Cela fait bien longtemps que l’investissement locatif dans l’ancien fait ses preuves. Présentant de nombreux bénéfices, investir dans l’ancien est fructueux, notamment grâce aux éléments suivants : Les biens immobiliers disponibles dans l’ancien sont plus nombreux. Pour l’apercevoir, une simple recherche sur un site immobilier suffit. Les logements anciens sont omniprésents, comparé aux logements neufs plus rares. Cette donnée est très importante, puisqu’elle signifie que vous aurez plus de choix, mais aussi plus de chance d’acheter un bien dans votre budget. Le prix d’achat est moins élevé que dans le neuf. Généralement, on estime que la décote se fait entre 20% et 30% par rapport au neuf. Cette décote permet un rendement et une rentabilité locative plus élevée, mais aussi une meilleure plus-value en cas de revente ! De plus, le prix de vente est plus facilement négociable dans l’ancien, de quoi réduire encore vos coûts. Les biens anciens sont bien situés. Souvent situés dans le centre-ville ou le cœur historique des communes, les logements anciens sont majoritairement proches de toutes les commodités, là où le neuf est obligé de s’implanter en périphérie, où il reste du foncier disponible. En investissant dans l’ancien vous pouvez donc bénéficier plus facilement d’une bonne tension locative, c’est-à-dire d’un emplacement avec une forte demande locative. Cela vous évitera les loyers impayés et les périodes de vacances locatives. Le montant des travaux peut être déduit et un déficit foncier peut être généré. Bien que la plupart des personnes souhaitent investir dans un logement ancien en bon état, choisir un bien nécessitant des travaux s’avère souvent bien plus rentable. En effet, si vous optez pour le régime réel, vous pourrez déduire les charges liées à vos travaux. Si ces charges sont plus élevées que vos impôts, vous pourrez alors dégager un déficit foncier que vous pourrez reporter sur vos impôts pendant 6 à 10 ans. Les biens anciens vous permettent aussi de défiscaliser. Réservez exclusivement à l’investissement locatif, l’ancien tout comme le neuf, possède différents dispositifs de défiscalisation. Vous pouvez ainsi vous renseigner sur l’investissement Malraux, la loi Cosse, la loi Pinel ou encore la loi Monuments Historiques. Comment réussir son investissement dans un logement locatif ancien ? Vous l’aurez compris, investir dans l’ancien peut être particulièrement avantageux pour vous. Cependant, il est important de connaître quelques données clés afin de réussir au mieux votre placement. Voici nos cinq conseils les plus précieux. 1 – Sélectionnez votre type de bien Avant d’entamer vos recherches, il est primordial que vous ayez parfaitement défini le type de bien que vous souhaitez en tant qu’investisseur. Souhaitez-vous investir dans une location nue ou meublée ? Dans un logement ayant une grande superficie ou au contraire dans un petit logement ? Les logements nus sont plus répandus que les biens meublés (LMNP, LMP) mais ces premiers possèdent un loyer moins élevé, ce qui influence donc la rentabilité. En revanche, les personnes s’installant dans un logement nu occupent bien plus longtemps la location que des locataires dans un meublé. Quant à la superficie, les logements plus petits ont un prix d’achat plus élevé que les plus grands dûs à leur popularité. Par contre, les locataires y vivant restent moins longtemps que dans un grand logement. 2 – Définir votre cible Dans tous les cas, le type de bien et l’emplacement que vous choisirez doivent dépendre de la cible que vous souhaitez. Par exemple, si vous souhaitez avoir des étudiants comme locataires, privilégiez un logement petit, meublé et proche des universités et des transports. Pour un couple de parents, vous favoriserez un grand logement nu proche des écoles. 3 – Fixez correctement votre loyer Aujourd’hui, seules quelques villes ont mis en place un encadrement des loyers, vous pouvez donc généralement fixer le prix vous-même. Étudiez les prix des de mise en location des biens similaires aux autres dans votre quartier pour avoir un ordre d’idée. Ne soyez pas trop élevé par rapport à eux, au risque de ne trouver personne. Aussi, pensez à insérer une clause de révision annuelle du loyer dans votre bail de location, à défaut de ne pouvoir modifier le montant de votre loyer qu’à l’entrée du prochain locataire. 4 – Optimisez votre fiscalité avec le régime réel Comme expliqué précédemment, opter pour le régime réel ou micro-foncier, vous permettra de déduire entièrement vos charges liées à la réalisation de vos travaux. Vous pouvez bénéficier du régime réel que vous soyez en LMNP, en LMP ou en location nue. 5 – Assurez la rentabilité de votre bien en souscrivant à une assurance Pour finir, n’oubliez pas de souscrire à une assurance contre les loyers impayés ! Certes, cette opération possède un coût non négligeable, mais celui-ci ne représente pas plus de 3% de vos revenus locatifs perçus brut. Si vous avez opté pour le régime réel, vous pourrez en plus déduire

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Faire une simulation d’investissement locatif

Faire une simulation d’investissement locatif Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Faire un investissement immobilier locatif est presque toujours synonyme de placement financier conséquent. De cette manière, il est indispensable de bien évaluer sa capacité d’emprunt ainsi que son budget avant de se lancer dans cette aventure. Heureusement, des calculs et des outils de simulation en ligne existent afin de préparer au mieux votre achat immobilier. Tour d’horizon des facteurs à prendre en compte pour calculer votre taux d’endettement. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Pourquoi simuler votre investissement locatif ? Comment simuler votre investissement locatif ? 1 – Evaluez le montant de votre prêt 2 – Calculer vos mensualités 3 – Calculer votre rendement locatif Comment avoir un bon investissement locatif ? Pourquoi simuler votre investissement locatif ? Grâce à ses taux d’intérêt bas, même s’ils remontent actuellement, et ses avantages fiscaux (amortissement, Censi-Bouvard, Pinel, Malraux…), investir en immobilier reste à ce jour le placement favori des français. Cependant, pour que votre projet investissement locatif soit une réussite, il est primordial de ne pas négliger votre simulation. Dans le cadre de l’achat d’un bien locatif ( LMNP, LMP, immeuble de rapport…), la simulation vous aidera à définir le coût global de votre projet immobilier, en prenant en compte le montant des mensualités, la durée, etc. Celle-ci vous permettra également d’identifier le crédit immobilier le plus adapté à vos besoins, étape importante pour avoir la meilleure rentabilité possible. Attention cependant, la simulation d’un premier achat immobilier en résidence principale sera un calcul différent que pour un achat locatif, que vous investissez dans une location nue ou meublée. Ici il est capital de prendre en compte que vous n’achetez pas un logement pour y vivre, mais vous achetez un bien destiné à la location. Bien que vous ayez des revenus supplémentaires grâce aux loyers perçus, vous aurez très certainement des charges liées à votre résidence principale qui devront par conséquent être prises en compte dans le calcul. Cela aura bien évidemment une influence sur les conditions de votre prêt. Comment simuler votre investissement locatif ? Pour simuler correctement votre investissement locatif, vous devrez suivre pas à pas ces trois étapes. 1 – Evaluez le montant de votre prêt La première question que vous devez vous poser est : quel montant dois-je emprunter pour financer mon projet immobilier ? Une fois que vous aurez déterminé précisément votre budget, vous pourrez alors estimer votre capacité d’investissement. 2 – Calculer vos mensualités Le calcul de vos mensualités est un passage obligé pour visualiser votre prêt immobilier ainsi que son impact sur la durée possible. Ce calcul doit prendre en compte tous les coûts engendrés par votre logement locatif (coût du crédit, assurance, frais de notaire…) pour savoir si vous pourrez le rembourser aisément ou non. 3 – Calculer votre rendement locatif Le rendement locatif est certainement l’indicateur le plus important à prendre en compte pour un investisseur. Et pour cause, celui-ci permet de savoir si son investissement peut ou non rapporter de l’argent, et ainsi être rentable. Il facilite donc la comparaison entre les différents projets et vous aidera à faire votre choix. Attention toutefois à ne pas le confondre avec la rentabilité locative, qui elle prend en compte la possible plus-value ou moins-value générée par la revente de votre bien. Le rendement locatif quant à lui prend seulement en compte le prix d’achat du bien immobilier, le loyer défini et les charges qui en découlent. Si ces trois étapes vous semblent complexes à effectuer seul, sachez que des simulateurs en ligne existent pour vous guider dans vos calculs. Comment avoir un bon investissement locatif ? Pour avoir la meilleure rentabilité possible et avoir un résultat satisfaisant sur le simulateur que vous utilisez, votre projet locatif devra obéir à certains facteurs. Par exemple, assurez-vous que votre bien soit situé dans une zone de tension locative, c’est-à-dire une zone avec une forte demande locative. Pour cela, étudiez le marché immobilier de l’emplacement où vous souhaitez acheter votre bien, cela vous évitera de vous exposer à des risques locatifs comme des loyers impayés, des vacances locatives, etc. Cela vous permettra aussi de trouver un ou des locataires plus rapidement, ce qui vous permettra d’obtenir des revenus fonciers assez vite. Réfléchissez d’ailleurs à quel montant vous souhaitez fixer vos loyers, car vos revenus locatifs pourront vous aider à rembourser votre emprunt. Ils seront d’ailleurs pris en compte à 70% lors du calcul de votre capacité d’emprunt. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut

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Pourquoi investir dans le locatif

Pourquoi investir dans le locatif Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Investir dans l’immobilier locatif consiste à acquérir un logement, non pas dans le but d’en faire sa résidence principale, mais pour le mettre en location. Celui-ci peut être dans le neuf ou dans l’ancien, nue ou meublé (on parle alors de LMNP ou LMP). Actif prometteur, découvrez tous les bénéfices de l’investissement locatif. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Quels sont les avantages de l’investissement immobilier locatif ? Un actif durable à la portée de tous Un actif qui s’achète à crédit Un actif qui peut permettre de profiter d’avantages fiscaux Un actif en partie financé par les locataires Un actif qui assure une bonne rentabilité locative Un actif peu risqué Un actif pouvant servir pour soi ou pour ses proches Un actif permettant de préparer sa retraite Un actif pouvant être transmis Quels sont les avantages de l’investissement immobilier locatif ? Investir dans la pierre reste, à ce jour, l’investissement préféré des français. Et pour cause, l’investissement locatif présente de nombreux avantages pour le propriétaire bailleur. Voici les principaux bienfaits de l’investissement locatif. Un actif durable à la portée de tous Contrairement au marché financier qui nécessite des connaissances techniques, investir dans le marché de l’immobilier ne requiert rien d’autre que du bon sens. Un investissement locatif peut donc être fait seul et être géré par soi-même. De plus, investir dans un bien immobilier locatif est une action durable, s’étendant sur le nombre d’années que le propriétaire souhaite. Un actif qui s’achète à crédit Peu de personnes savent qu’un prêt immobilier peut être contracté sans aucun apport, puisque certaines banques prêtent jusqu’à 110% du prix de l’achat du bien (comprenant les frais de notaire). Cette information fait que l’investissement locatif est le seul placement financier pouvant être fait à crédit. Un avantage considérable qui fait que ce type d’investissement s’adapte à un grand nombre de budgets. Un actif qui peut permettre de profiter d’avantages fiscaux En fonction du type de logement dans lequel vous souhaitez investir, vous pourrez profiter de différents dispositifs de défiscalisation. Si vous investissez dans le neuf, vous pourrez défiscaliser grâce à la loi Pinel. En achetant une location meublée dans une résidence de service, vous pouvez récupérer votre TVA et réduire votre fiscalité avec l’amendement Censi-Bouvard. En faisant un investissement immobilier dans l’ancien avec des travaux, vous pourrez profiter du dispositif fiscal Malraux qui vous offrira une réduction d’impôt. Sous réserve de certaines conditions, de nombreux dispositifs peuvent donc vous aider à amortir votre logement locatif au fil des années. Un actif en partie financé par les locataires Bien que le crédit immobilier soit là pour le financement de ce projet, vos revenus locatifs assureront tout de même une grande part du financement de votre bien. Bien que ce soit rare, dans certains cas, les loyers perçus permettent même d’autofinancer son achat immobilier. Un actif qui assure une bonne rentabilité locative Le rendement locatif d’un bien immobilier est tout aussi bon que celui d’un actif financier.  En vous renseignant sur le marché immobilier et en choisissant un bon emplacement, dans une zone à forte tension locative par exemple, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour effectuer une excellente opération financière. Un actif peu risqué L’immobilier locatif est de loin l’investissement le plus sûr du marché. Bien qu’il existe tout de même des périodes de crise, les statistiques sont moins volatiles et violentes qu’un placement financier par exemple. Un logement aura toujours une valeur minimale, qu’importe le contexte. De plus, investir dans l’immobilier est peu risqué grâce aux diverses garanties locatives existantes, comme l’assurance loyers impayés par exemple. Un actif pouvant servir pour soi ou pour ses proches Louer ne signifie pas que vous ne pourrez jamais faire de votre location votre résidence principale. Une fois la fin de durée de location terminée, si votre bien dépend d’un dispositif fiscal, vous pourrez vivre dans le logement que vous mettiez en location. De cette manière, rien ne vous empêche d’acheter un bien dans une zone où vous voulez vivre, de le financer grâce à vos loyers et d’ensuite profiter de ce logement une fois à la retraite par exemple. De la même manière, vous pouvez louer votre bien à vos proches contre un loyer attractif. Un actif permettant de préparer sa retraite Une fois votre crédit immobilier remboursé, vos loyers formeront un revenu complémentaire régulier. Ce revenu locatif peut donc représenter un complément non négligeable lorsque vous serez en retraite. Un actif pouvant être transmis Enfin, l’investissement immobilier est le plus souvent un investissement conservé sur le long terme, ce qui en fait un actif idéal pour être transmis à ses enfants ou proches. La transmission de son patrimoine peut d’ailleurs être préparée fiscalement grâce à la création d’une société civile immobilière familiale par exemple. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3)

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Qu’est-ce que la tension locative ?

Qu’est-ce que la tension locative ? Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi La tension locative est une notion importante à connaître lorsque l’on souhaite investir dans l’immobilier. Élément stratégique, elle vous fournit des informations clés sur la rentabilité de votre bien. Découvrez tout ce qu’il y a à savoir sur la tension locative. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Que signifie le terme tension locative ? Comment mesurer la tension locative ? Renseignez-vous sur la ville​ Consulter un tensiomètre locatif Utiliser les baromètres du marché de l’immobilier Documentez-vous sur la loi ALUR Que signifie le terme tension locative ? Avant de faire un investissement immobilier, vous devrez étudier minutieusement divers paramètres afin de savoir si le logement que vous souhaitez acheter sera rentable ou non, et s’il est exposé à des risques locatifs comme des loyers impayés, des vacances locatives, etc. C’est à ce moment que la tension locative entre en jeu. La tension locative, c’est tout simplement lorsque la demande locative est supérieure au nombre d’offres immobilières sur le marché. Ainsi, si votre placement immobilier se situe dans une zone dite tendue, vous aurez plus de chance de trouver des locataires, ce qui est très bénéfique. Au contraire, si votre investissement locatif est dans une zone peu tendue, il sera plus compliqué de trouver un locataire et vous serez par conséquent plus facilement exposé au problème de vacance locative. Cet indicateur doit donc absolument être pris en compte avant d’acheter un bien à louer. Comment mesurer la tension locative ? Pour optimiser au maximum votre stratégie de location, il est primordial que vous sachiez mesurer la tension locative. Pour cela vous devrez faire des recherches sur les lieux les plus adaptés à votre projet. Renseignez-vous sur la ville​ Avant d’investir dans un bien, vous devrez vous renseigner sur la ville de votre futur logement. Analyser alors les données démographiques : le taux de natalité augmentent-il ? Quel est l’âge moyen de la population ? Est-ce une zone touristique ? Récoltez toutes les informations nécessaires qui montreraient que la vie locale est dynamique, en pleine expansion et avec de forts besoins. De cette façon, vous saurez pourquoi investir ici. Consulter un tensiomètre locatif Le tensiomètre locatif est un outil en ligne capable de déterminer la tension locative d’une ville en mesurant deux paramètres : la facilité à trouver des locataires et leur capacité financière comparée aux loyers locaux. Cet outil ne vous permettra pas de connaître la tension locative d’un quartier mais vous pourrez l’utiliser afin de comparer des villes. Utiliser les baromètres du marché de l’immobilier De nombreux sites, blogs et autres médias proposent des analyses du marché immobilier. Ils peuvent concerner des villes mais aussi des quartiers dont les zones sont tendues, ce qui est très pratique pour déterminer votre emplacement. Documentez-vous sur la loi ALUR La loi ALUR est un dispositif qui a pour mission de favoriser l’accès au logement aux locataires. Elle permet de lutter contre les maisons et les appartements insalubres mais aussi contre les loyers au-dessus du prix du marché. Fortement appliquée dans les zones tendues, cette loi permet au locataire de profiter de seulement un mois de préavis, au lieu de trois, et impose aux propriétaires une taxe sur les logements vacants. De cette façon, elle incite le propriétaire à proposer un logement vide sur le marché locatif. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un indicateur intéressant des villes les plus rentables pour votre projet.   Vous pouvez également découvrir notre sélection de villes où il fait bon d’investir en consultant notre article : lien vers l’article Quelle ville choisir pour un investissement locatif ? – Immveo 4) Comment acheter pour louer sans apport ? Pour pouvoir réaliser votre projet d’investissement locatif sans apport il est primordial que vous constituiez votre dossier de demande de prêt de manière solide. Pour cela, vous devez choisir un bon emplacement pour votre logement, anticiper les charges qui pourront être liées, calculer votre rendement locatif, être capable de réaliser un effort d’épargne et enfin penser à la défiscalisation de votre projet.   Découvrez plus de conseils pour réaliser votre investissement sans apport personnel sur ce lien : lien vers l’article Réaliser un investissement locatif sans apport – Immveo

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Comment sont réparties les charges de copropriété ?

Comment sont réparties les charges de copropriété Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi En France, la copropriété fonctionne grâce à des versements de provisions effectués par les copropriétaires. Ces versements, ou charges communes, sont donc obligatoires pour couvrir les dépenses courantes de l’immeuble dans lequel ils ont investi. Cependant, par souci d’équité, ces charges doivent également être réparties entre tous les propriétaires. Zoom sur les charges de copropriété et leur répartition. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire Les charges de copropriété : définition Les charges générales Les charges spéciales La répartition des charges La répartition des charges générales La répartition des charges spéciales Les charges de copropriété : définition Les charges de copropriété correspondent à toutes les dépenses utiles au fonctionnement et à l’entretien de la copro. Généralement, ces charges sont votées lors d’une assemblée générale réunissant tous les propriétaires, et sont, la plupart du temps, prévues dans le budget prévisionnel. Le syndic de copropriété a ensuite pour rôle de veiller au bon recouvrement des frais, à défaut de voir sa responsabilité être engagée. En tout, on distingue deux types de charges auxquelles l’ensemble des copropriétaires sont soumis : les charges générales et les charges spéciales. Les charges générales Comme son nom l’indique, les charges générales concernent l’entièreté de l’immeuble et de ses copropriétaires. Elles comportent l’administration et l’entretien des parties communes. Parmi ces charges, on retrouve : Le salaire du gardien de l’immeuble. Le nettoyage du bien immobilier. Les cotisations et les primes des assurances obligatoires souscrites par le syndic. Les frais de tenue des assemblées générales. Les honoraires du syndic. Les frais de justice, si une action a été intentée en cas de faute du syndicat des copropriétaires par exemple. Etc. Les charges spéciales A contrario, les charges spéciales concernent quant à elles seulement une partie des copropriétaires et non tout le monde. Elles visent donc des dépenses spécifiques, comme : Le chauffage collectif. L’eau froide. Les frais de maintenance de l’ascenseur. Le vide-ordure. Etc. La répartition des charges La répartition des charges de l’immeuble est régie par le règlement de copropriété. Ce document prévoit que certaines charges sont réparties par bâtiments ou par escaliers. Il précise également comment les quotes-parts des parties communes et les quotes-parts de charges sont calculées. Cependant, la répartition des charges diffère selon si la charge est générale ou spéciale. La répartition des charges générales Dans le cas des charges générales, la répartition est faite en fonction des quotes-parts des parties communes (tantième) détenues par chacun dans l’immeuble. Le calcul se fait alors proportionnellement aux tantièmes de copropriété et tous les copropriétaires ont pour obligation de les régler. Pour rappel : les tantièmes et les millièmes sont aussi inscrits dans le règlement de copropriété. Par exemple : Les propriétaires d’un logement au dernier étage doivent participer au frais d’entretien des espaces verts, tout comme, à l’inverse, ceux du rez-de-chaussée sont obligés de payer les travaux concernant la toiture. La répartition des charges spéciales Concernant les charges spéciales, la méthode de calcul est quant à elle quelque peu différente. Dans ce cadre, ce n’est pas tous les copropriétaires qui doivent financer les charges, mais seulement ceux pour qui la dépense est utile. Attention, l’utilité est jugée objectivement et ne doit pas être confondue avec un usage effectif, celle-ci doit plutôt être vue comme une possibilité d’usage. Ce n’est donc pas parce qu’un propriétaire n’utilise pas un équipement compris dans les charges spéciales qu’il est exonéré. Par exemple : Le copropriétaire d’un appartement au rez-de-chaussée ne participera pas aux frais liés à l’ascenseur car celui-ci n’aura pas de possibilité d’usage. Par contre, le propriétaire d’un bien au dernier étage devra y participer, même s’il ne l’utilise pas. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans un immeuble de rapport. Pour faire le meilleur choix, vous devrez prendre en compte votre budget, la localisation souhaitée, le type de performance que vous souhaitez, etc. 3) Où acheter pour louer en France ? Vous êtes décidé à investir dans l’immobilier locatif mais ne savez pas encore quelle ville ciblée ? Pour vous aider à prendre la meilleure décision, vous devez prendre en compte et analyser plusieurs facteurs. Renseignez vous d’abord sur votre capacité d’emprunt. Cherchez ensuite des informations sur la ville comme les projets futurs, le rendement brut moyen et le taux de vacance locative. Prenez aussi en compte l’évolution des loyers moyens par rapport aux prix d’acquisition, cela vous donnera un indicateur intéressant des villes les plus rentables pour votre projet.   Vous pouvez également découvrir notre sélection de villes où il fait bon d’investir en consultant notre article : lien vers l’article Quelle ville choisir pour un investissement locatif ? – Immveo 4) Comment acheter pour louer sans apport ? Pour pouvoir réaliser votre projet d’investissement locatif sans apport il est primordial que vous constituiez votre dossier de demande de prêt de manière solide. Pour cela, vous devez choisir un bon emplacement pour votre logement, anticiper les charges qui pourront être liées, calculer votre rendement locatif, être capable de réaliser un effort d’épargne

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Comment fonctionne la fiscalité en LMNP ?

Comment fonctionne la fiscalité en LMNP Investir avec IMMVEO c’est bénéficier … D’hypothèses d’investissement transparentes De la Garantie Loyers Impayés (GLI) De l’aide juridique en tant que propriétaire De conseils de professionnels agrées (carte T) D’un accompagnement sur le financement (ORIAS) 30 ans cumulés d’expertise en investissement immobilier 5/5 avis sur Google 1 méthode de recherche unique, l’Imbrication Nos conseils pour un investissement locatif réussi Le statut fiscal LMNP (Location Meublé Non Professionnel) est réputé pour son aspect avantageux. Il existe en tout deux régimes fiscaux différents pour ce type d’investissement, qu’il est important de bien analyser afin que son achat soit le plus rentable possible. Découvrez quelles sont les conditions d’éligibilité ainsi que les atouts de la fiscalité en LMNP. Ne manquez pas nos prochaines opportunités ! Sommaire C’est quoi le statut fiscal LMNP ? Quelles sont les fiscalités possibles pour le statut LMNP ? Le régime micro-BIC Le régime réel C’est quoi le statut fiscal LMNP ? Le statut de loueur meublé non professionnel concerne uniquement les propriétaires de location meublée. Plus facile à obtenir que le statut de loueur meublé professionnel (LMP), des conditions et formalités doivent cependant être respectées afin de l’acquérir. Pour se déclarer en LMNP, il est obligatoire pour l’investisseur d’être un contribuable français souhaitant investir dans l’immobilier locatif à long terme. Celui-ci doit alors déclarer tous les revenus qu’il obtient de ses investissements dans la catégorie BIC. Ce statut n’étant pas compatible avec le statut LMP, le loueur ne devra alors pas être inscrit au Registre du Commerce et des Sociétés, et il ne devra pas percevoir des revenus locatifs supérieurs à 23 000€ par an. Son activité de propriétaire bailleur ne doit pas être sa source de revenus principale et son activité doit être déclarée auprès d’un CFE (Centre de Formalités des Entreprises). Le bien meublé doit aussi être loué dans le mois qui suit son acquisition ou au moment de l’achèvement des travaux. Il peut être situé ou non dans une résidence de services et doit permettre aux locataires de s’installer directement avec leurs effets personnels, ceux-ci n’ayant pas besoin d’investir dans du mobilier pour répondre à leurs besoins. L’investisseur pourra être considéré comme un loueur meublé professionnel au moment où ses revenus locatifs dépasseront 23 000€ par an, et lorsque ses revenus représenteront plus de 50% des revenus du foyer. Dans le cadre de ce nouveau statut, des cotisations sociales d’environ 1 000€ sont alors demandées tous les ans. Quelles sont les fiscalités possibles pour le statut LMNP ? L’administration fiscale estime qu’un loueur mettant à disposition sur plusieurs années fiscales son bien meublé exerce une activité de type commercial. De ce fait, un investisseur LMNP aura alors le choix de souscrire entre deux régimes fiscaux distincts : le régime micro-BIC ou le régime réel. Le régime micro-BIC Pour pouvoir profiter du régime fiscal micro-BIC, les revenus locatifs annuels doivent être inférieurs à 72 600€, sauf si le loueur opte pour le régime réel, régime n’étant appliqué que sur demande. Le régime micro-BIC permet alors d’obtenir un abattement forfaitaire de 50% sur les montants des loyers, ce qui signifie que le loueur n’est imposé que sur 50% des montants de ses loyers. Cependant, aucune charge ne peut être déduite, ce régime est donc intéressant si les charges sont inférieures à la moitié des recettes. Il est également impossible d’être imposé au régime micro-BIC, tout comme il est impossible de récupérer la TVA déductible, comme c’est normalement le cas lors d’une acquisition dans une résidence de services. Le régime réel Il existe deux façons de bénéficier du régime réel : il faut soit avoir des revenus locatifs annuels supérieurs à 72 600€, soit avoir opter pour ce régime. Avec cette fiscalité, il est possible de déduire toutes les charges liées à son investissement de ses revenus locatifs (taxes foncières, charges de copropriété, intérêts d’emprunt, honoraires comptables, prime d’assurance de l’immeuble). Le régime réel permet aussi de déduire les amortissements de l’investissement sur : 5 à 10 ans pour tout ce qui est meuble et équipement. 25 à 40 ans pour les frais d’acte et l’immobilier. Ces amortissements donnent lieu à une défiscalisation totale ou partielle des loyers encaissés, ce qui est l’avantage principal d’une location meublée contrairement à une location classique. Si le logement est dans une résidence de services, l’investisseur peut également récupérer la TVA payée au moment de l’acquisition du bien. Dans le cadre de ce régime d’imposition, il est aussi possible d’opter pour l’amendement Censi-Bouvard pour les loueurs dont le logement est dans une résidence de services. Ce dispositif permet de : Avoir une réduction d’impôt de 11% du prix d’achat HT répartie sur 9 ans (réduction plafonnée à 300 000€). Si la réduction de l’impôt est supérieure à l’impôt de l’année, celui-ci peut alors être reporté pendant les six années suivantes. Récupérer la TVA (jusqu’à 20%) sur le montant de l’achat, dans le cas où le propriétaire s’engage à conserver son bien durant 20 ans. Avoir un bail commercial liant le propriétaire au gestionnaire de la résidence. Ce contrat permet à l’investisseur de percevoir un loyer pendant toute la durée du bail, pour un minimum de 9 ans. Le gestionnaire a alors l’entière responsabilité de la gestion du bien et de sa location, ce qui permet au propriétaire d’être pleinement serein. Vous avez un projet ? Échangeons ensemble ! Je discute avec un expert FAQ 1) Pourquoi acheter pour louer ? Acheter un bien immobilier non pas pour y habiter mais pour le louer présente de nombreux avantages comme la défiscalisation, la simplicité et la rentabilité. C’est également un des investissements les plus sûr et celui préféré des banques car il promet un revenu fixe chaque mois. 2) Quel bien acheter pour louer ? Lors de la structuration d’un investissement immobilier locatif, plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez choisir d’investir dans différentes tailles de logement, que ce soit dans un studio, une colocation, un appartement type 3 pièces, un 2 pièces ou encore dans

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